Attention ovni. Une certaine urgence, un batteur qui semble sans cesse en avance pour tirer chaque morceau vers l’entêtement. Efficace. Grave mais jamais binaire. Un son medium qui semble simuler une prise live dans un studio de répétition.
On y revient, on réécoute. Et on se prend à entendre une pointe de Nirvana (grunge Seattle), du Led Zep (la descente fantastique d’Always). L’album progresse jusqu’à atteindre des sphères plus galactiques, funk, un son électro-gras nouveau. Nouveau.
Death from Above 1979 – The Physical World
Les deux titres à écouter d'urgence : Trainwerck 1979, Gemini